I.Need.You

Et des milliards de souvenirs qui m'ont hanté toute la journée. Six ans. Ça aurait pu. Ça ne l'est pas. Nos un ans, c'était un mercredi. Je t'ai fais la tête. Tout l'après midi. J'ai passé l'après midi avec un pote. Quand on est rentré, tu m'attendais en bas de l'escalier. Je t'ai ignoré. Plus tard j'ai appris que tu avais une lettre à me donner. Elle a fini au toilette. J'aurai aimé lire tes mots. Je t'ai fais la tête. A cause du Baby foot... Sale Conn* que je suis. Que j'étais. Nos deux ans, c'est le trou noir. Je ne sais plus. J'ai honte de ne pas me souvenirs. Nos trois ans, aux termes. Dans l'eau, collé serré, le soir, de belle lumière. Sauna Hammam, jacuzzi... Suivi d'une nuit d'hôtel. Magnifique soirée. Nos quatre ans, un dimanche. Restaurant gastronomique, au château. J'étais ta princesse, tu était mon prince. Deux menu repas gourmet. Accord mets et vins. Se qui à décoincé cette ambiance un peu trop "riche". Fous rire, petite larme, de belles paroles, un bon diner, une belle nuit. Cinq ans, sans toi. Six ans, aujourd'hui. Sans toi. Se n'est pas de ta faute. C'est moi qui t'ai laissé. Mais je pense encore trop à toi. Je pense à se qu'on aurai pu faire aujourd'hui, se soir? Quelles idée encore folle aurait on eu? Dans quinze minutes, notre premier baiser. Il y a six ans.
> Premiers baiser

          Je crois qu'il faudra que j'attende le jour ou je baisserais complétement les bras.
Où je n'en pourrai plus, au point de ne plus rien ressentir. Je pense qu'a force qu'on te prenne la tête pour rien ou pour pas grand chose, et que pour toi c'est presque souvent aberrant, incompréhensible, insensé, il arrive un jour où ça ne te fais plus rien. Où tu n'as plus envie de te battre. Plus envie d'avancer. J'ai déjà eu cette envie. Envie de rien. Envie de rien faire, pas de projet en tête. Mon cœur s'est fait écrabouillé violemment le jour où il était au summum du bonheur. Ça fait plus d'un an. Et je n'ai rien fait pour changer ça. Je suis aveugle. Et là j'ouvre les yeux, et pourtant pourquoi y'a pas de déclic. Que me faut il de plus? Un prétexte? Une nouvelle rencontre. Mais j'en ai même pas envie. Seule. Être seule. Et ne pas me faire de mal.


 

Tu me l'a répeter sans cesse, au téléphone, par sms, en face, en souriant, en pleurant, en étant ivre.
Je ne t'ai pas cru.
Je suis nulle.
Je m'en veux.
Je te veux.

"Mais pourquoi tu attends? Tu attends quoi en fait la? L'impression que tu es sûr de tout ce que tu dis. Alors pourquoi?"
 

Si seulement tout était plus simple. Je déteste faire souffrir. Pourtant ... Et là, non je n'veux pas. "Alors tu passes son bonheur avec le tien ?", Euh... Peut être bien que c'est ça. "Mais toi, tu n'as pas l'air plus heureuse que ça, alors ne souffre pas, arrête. Arrête tout." J'attends. J'attends qu'il s’aperçoive que l'on ne vas pas dans le même sens. Nos regards ne sont pas posé vers le même futur. J'attends qu'il comprenne que quelqu'un d'autre peut lui apporter plus que moi. Même si. Même si j'ai été la première à aller au fond de lui même, à chercher ce qui à fait de lui aujourd'hui. Peut être j'ai été la première mais. Mais j'ai trop souffert & mon amour à fais marche arrière. & puis j'attends, peut être que. Peut être qu'il va réenclenché la marche avant. Alors oui, j'attends. & je sais, oh combien ils ont raison de me dire d'arrêter d'attendre. Je sais, je sais.